samedi 20 novembre 2010

Domaine Plageoles


J’ai récemment fait une visite à la région de Gaillac et la ville magnifique d’Albi. J’étais un fan des vins du Sud-Ouest avant ma petite escapade et je trouve les vins de Gaillac particulièrement intéressant. Blakeneys déjà stock les vins délicieux et moderne d’Alban de Genouillac – les cuvées de mono cépage, le Fer Servadou et le Syrah ainsi que les assemblages, rouge blanc et rosé. Cette excursion récente a été de redécouvrir les vins de Robert Plageoles. J’ai d’abord essayé ses vins à la London Wine Fair il y a quelques années et j’ai été frappé par leur caractère unique tant et si bien qu’ils ont coincé dans ma mémoire qui est remarquable compte tenu du chaos de le LWF.

C'était un jour gris et froid avec un vent du nord agressif et mordant, il s'étend généralement le long des vallées de l'ouest en maintenant le climat sympa. Toutefois, les feuilles rouges et or qui sont restés sur les vignes éclaboussé la chaleur sur les flancs des collines et l'accueil du domaine qui on a fait oublier l'amertume dehors.

Le premier vin à déguster était le Mauzac Nature. Il est un vin mousseux crée selon la méthode traditionnelle dans ce coin la « Méthode Gaillacoise ». Cette formule a été utilisée au 16ème siècle, bien avant un certain Dom Pérignon provoqué un véritable engouement dans la région de Champagne. Elle est également utilisé à Limoux où il est aussi connu sous le nom « Méthode Rurale » Le vin issu exclusivement de Mauzac Rose – il y a sept membres de la famille Mauzac : Vert, Roux, Rose, Gris, et Noir sont planté sur le domaine. La technique consiste à une seule fermentation qui est arrêté avant tout le sucre est transformé en alcool par une série de soutirages puis mis en bouteille. Tout le sucre résiduel provient du fruit il n’y a pas de sucre ajouté, qui est souvent le cas dans la méthode champenoise. Après quelques mois le vin commence à fermenter une deuxième fois car il y a un peu de levure, entièrement naturel, est encore présente il n’y a aucune filtration. Cela donne le vin des bulles. Une méthode moins complexe par rapport à la Champagne mais en même temps le vigneron doit être, peut-être plus compétent et vigilant. Le vin est tout simplement divine. Les fines bulles donnent une mousse succulente, les arômes sont un mélange de fleurs blanches – jasmin et chèvrefeuilles et de poire et de pomme. La bouche a les délicates nuances de pomme et de miel avec une attaque rafraîchissante. Pour un apéritif ce vin n’a aucun identique plus gentille et plus attrayant que le champagne. Il serait facilement accompagner un dessert fruité mais singulièrement il est un vin soif. Vous pouvez le boire quand vous voulez.

Le vin suivant était le Mauzac Vert. Tous les vins du Domaine Plageoles sont mono cépages c’est veut dire une seule variété par cuvée il n’y a aucun assemblage. Ils sont conçus avec soin pour démontre le caractère propre du cépage et du terroir. C’est ainsi que Robert Plageoles vigneron s’est converti en archiviste du Gaillacois. Alors que Cabernet, Merlot ou Chardonnay envahissaient la région lui scrupuleusement étudiait les textes dans les bibliothèques à la recherche de toute mention des cépages autochtones parmi les autres Mauzac et il s’est mis la replantation. Aujourd’hui Bernard, son fils, s’accroche à cette tradition famille en travaillant les variétés locales et ce petit coin de Gaillac devient un mini conservatoire de cépages disparus dans l’assaut du Phylloxéra. Le Mauzac Vert est un vin vif, aromatique avec des notes florales et des touches de pomme. Souple en attaque, la bouche se révèle bien équilibrée avant une finale harmonieuse. Posez sur la table avec du poisson blanc ou des huîtres il pourrait faire la même tâche en tant que Sancerre ou Pouilly Fumé.

L’autre blanc sec on a goûte ce jour là était l’Ondenc. Ce cépage a longtemps fréquenté les vignobles bordelais, bergeracois et côtes de Duras presque complètement abandonné de tous il a été perdu au moment de la crise du phylloxera, au profit du sémillon et du sauvignon. Domaine Plageoles, parmi des autres vignerons gaillacois, a cru en lui. Il est en passe de sauvegardé dans cette appellation. Ce vin a une sensation plus lourde par rapport au Mauzac Vert. Légèrement onctueux avec un effleurement crémeux tout cela vient du fruit il n’y a pas de chêne. Jaune claire éclatant, celui-ci s’ouvre généreusement la pomme et la gelée ce coing. Au palais il vous offre sa fraîcheur tendre, son caractère rond et sa finale longue et plaisante. Il est un partenaire pour une cocotte de volailles ou un plat asiatique légèrement épicé.

J'ai ensuite poursuivi des rouges. Tous les vins de la famille Plageoles sont élaborés selon les principes respectueux du terroir en utilisant uniquement des produits naturels, donc pas d'engrais chimiques ou de désherbants, pas de produits synthèse et pas de levure sèche. Ils exploitent deux domaines distincts le domaine Très Cantous dans la commune de Cahuzac sur Vère et le domaine Roucou-Cantemerle dans la commune de Castelnau de Montmiral ces deux domaines représentent 23 hectares de vignes dont 16 sont consacrés aux variétés blanches et 7 rouges. Cela ne permet pas de toute erreur, ils doivent être sur place. Le Duras a ses origines dans le département du Tarn et de l'exception d'un empiétement peu dans une région voisine il reste mis en Gaillac. Il s'agit d'une vraie variété locale avec des pensées qu'il est le descendant d'une vigne sauvage, une lambrusque de la forêt de Grésigne à deux pas d'où il est planté maintenant par Robert Plageoles. Il n'a certainement rien à voir avec l'appellation des Côtes de Duras, qui est à l'est de Bordeaux. La robe grenat violacé laisse imaginer une concentration que le bouquet imposé par les fruits rouges et noirs mûrs. L’attaque est souple mais persistant la bouche pleine, elle est aussi fruité et épicée, poivre noir. La trame de tanins soyeux donne beaucoup d’élégance.


L'autre rouge qui a été présenté a été la Syrah. Un troisième rouge élaboré de 100% Braucol (également connu sous le nom Fer Servadou) était tous épuisé, c’était la fin d’octobre et sans beaucoup de terrains et de très faible rendement de c’est à peine inattendue, il y a une grande croix dans l’agenda 2011, quand la nouveau millésime sera prêt. Comme la Syrah, c’était une surprise, pas la qualité qui a été plus élevé que tous les autres, j'ai été surpris par le fait que c'était bel et bien un cépage international trouvé dans les quatre coins du monde. La famille Plageoles a eu le domaine depuis 1805 et la Syrah a été présent pendant une longue période. Je suppose que ce qu'on dit, c'est que si elle n'est pas cassée ne la répare pas. Ce n'était certainement pas brisé, loin de là. Cette Syrah est immédiatement reconnaissable comme une Syrah, mais elle avait une douceur et la gentillesse de qui n'est pas toujours associée à ce cépage. La couleur est pourpre foncé avec des taches de bleu. Il y avait une qualité d’une délicate confiture de mûres qui la rend ce vin tout à fait buvable. Je dirais que c'est l'intrus dans la famille des vins Plageoles seulement parce qu'il est si typique, je dois un jour faire une dégustation comparative avec d'autres Syrahs pour savoir comment il est atypique.